Accueil Blog Page 12

Qu’est-ce que le jardinage hydroponique ?

L’hydroponie est une technique de culture qui se répand de plus en plus. Véritable technique de culture hors-sol, elle consiste à cultiver une plante sans l’avoir à l’enraciner dans la terre. Avec cette technique, les racines de la plante sont plutôt plongées dans un substrat solide ou dans un liquide. Le jardinage hydroponique est un peu utilisé par les producteurs à grande échelle, mais aussi par les ménages pour le développement de leurs plantes ou de leur potager à n’importe quelle période de l’année.

Comment fonctionne le jardinage hydroponique ?

Avec la culture hydroponique, les racines des plantes ne sont pas directement enracinées dans le sol. Elles sont placées dans un substrat ou dans un liquide qui assure la nutrition de la plante. Ici, plusieurs types de substrats peuvent être employés. Ils sont très économiques et ont des avantages particuliers.

Pour retenir efficacement l’eau pour le développement d’une plante qui nécessite une importante quantité d’eau, vous pouvez utiliser la perlite. Si vous devez faire profiter d’une bonne isolation aux racines de vos plantes, il sera nécessaire de recourir à l’utilisation des billes d’argile. La laine de coco est aussi un excellent substrat pour une isolation parfaite. Si vous êtes à la recherche d’un substrat biodégradable, vous pouvez utiliser la fibre de coco. Vous profiterez de cette culture en optant pour des équipements de qualité comme ceux fournis par le growshop.

Le jardinage hydroponique : quels sont ses avantages ?

La culture hydroponique présente plusieurs avantages de taille aux ménages, mais aussi aux grosses firmes de production agricole. Ainsi, les plantes ne risquent pas de manquer d’eau ; le substrat utilisé pour enraciner les cultures a d’importantes capacités de rétention de l’eau. De plus, le substrat n’absorbe pas l’eau comme la terre et les terreaux ; vous ferez ainsi de vraies économies en eau. Il est nécessaire de préciser que le substrat ne favorise pas le développement de parasites et de germes. La période de culture des plantes est aussi réduite, cela favorise le rendement. La productivité est ainsi accrue, ce qui vous permet de faire plus de chiffres d’affaires.

Avec le jardinage hydroponique, vous n’avez pas besoin d’un espace de culture très important. Toutefois, vous ferez d’importantes récoltes. Il vous est possible d’installer un poste de culture hydroponique sur votre terrasse, sur votre balcon ou sur l’espace inexploité de votre toit. Il y a moins de saletés que la culture en terre ; les produits dérivés de cette culture ne sont pas en contact avec le sol. De plus, l’entretien des systèmes de jardinage hydroponique est simple, vous n’y passerez pas beaucoup de temps. Au final, ce type de culture offre vraiment de nombreux avantages.

Engrais organique : l’équilibre entre le sol et la plante

terre jardin

Pour stimuler la fertilité des sols de manière naturelle et efficace, l’utilisation d’un engrais organique est préconisée.  Les nombreux avantages que requièrent ces fertilisants organiques sur la structuration du sol et la limitation des pertes, font de ces produits des activateurs écologiques et rentables. Pour les agriculteurs qui sont déjà en bio, comme pour ceux qui amorcent leur virage, l’engrais organique sera une solution optimale pour leurs cultures. Les granulés libèrent progressivement leur contenu, en se solubilisant à l’humidité… un procédé plus précis qui agit en osmose avec l’environnement…

Un équilibre entre les sols et les éléments nutritifs plus efficace

Disponibilité régulière des éléments nutritifs

Le problème des engrais classiques réside dans le dosage d’azote à  apporter au sol pour compenser les manques et satisfaire les besoins de la plante, tout au long de sa croissance.

Le sol est naturellement riche en nitrates, grâce au processus naturel de minéralisation, durant lequel l’azote organique, présent dans l’humus, se transforme en nitrate, élément minéral absorbé par la plante.

L’apport en engrais organique permet ainsi :

  • D’améliorer cette minéralisation
  • De rendre disponible plus longtemps les éléments nécessaires à la croissance de la plante
  • D’assurer l’équilibre du complexe argilo-humique

Structuration et fertilité des sols

En plus de respecter l’équilibre des éléments nutritifs disponibles dans la terre, l’engrais organique participe au maintien de la structuration des sols :

  • Il optimise l’aération du sol et par là-même facilite la rétention d’eau.
  • Il facilite la stabilité du complexe argilo-humique.

En corollaire à  tous ces avantages, le recours à  un engrais sous forme organique est également garant d’une activité biologique souterraine optimale et à une activation de la croissance végétale.

Un procédé de régulation et d’optimisation

Des granulés homogènes à libération progressive

La forme ronde et régulière des engrais organiques revêt des avantages sur la qualité de l’épandage. Sa composition en molécules organiques permet une libération progressive et régulée des éléments nutritifs disponibles pour le végétal.

La plante puisera peu à peu les ressources minéralisées dont elle a besoin, sans risque de carences en période pluvieuses et de pertes inutiles pour l’agriculteur.

Une limitation des pertes par lessivage ou volatilisation

Les granulés se délitant progressivement avec l’humidité et, la plante puisant peu à  peu dans les éléments minéraux produits, le risque de perte par lessivage ou volatilisation est nettement diminué.

La forme organique de l’azote permet une nutrition progressive de la plante en fonction de ses besoins journaliers.

L’agriculture raisonnée intègre une dimension fortement qualitative, tant au niveau du respect des besoins spécifiques des cultures que du soin mesuré apporté au sol pour assurer une pérennité des ressources. L’aspect de l’équilibre entre qualité et quantité, entre rentabilité et environnement est le moteur principal de cette nouvelle agriculture.

Pourquoi nettoyer son jardin avec un broyeur de végétaux ?

Quand un jardin joliment fleuri et arboré génère beaucoup de déchets verts, il n’est pas simple de s’en débarrasser. Plutôt que de transporter les branchages et feuillages à la déchetterie, on peut préférer utiliser un broyeur de végétaux.

Cet outillage de jardin transforme rapidement en copeaux de bois toutes les branches issues d’une coupe printanière ou automnale. Le paillage obtenu convient parfaitement pour protéger du gel les massifs de plantes et les pieds des jeunes arbustes. Et c’est idéal pour limiter l’assèchement de la terre pendant les chaudes journées d’été. Le broyeur de végétaux s’avère aussi très utile quand on cherche à produire du compost.

Facile à utiliser et peu onéreux, le broyeur de végétaux est un équipement indispensable pour assurer la propreté d’un jardin en toute saison. Qu’il soit thermique ou électrique, cet appareil a l’avantage de rendre d’innombrables services au jardinier.

Le système de coupe

On distingue deux principaux systèmes de coupe. Ils varient en fonction des modèles. Certains broyeurs de végétaux utilisent des lames pour couper les branches en petits morceaux. D’autres emploient un rouleau strié qui écrase et déchiquette. Pour broyer des végétaux fraîchement coupés, le système à lames est en général le plus efficace.

Dans tous les cas, il faut se rappeler qu’un broyeur de végétaux peut projeter des débris et être assez bruyant. Il est conseillé de porter une paire de lunettes pour protéger les yeux ainsi qu’une protection auditive pour les oreilles. Ajoutons à cela des chaussures robustes et un pantalon suffisamment long. Il convient également de garder les enfants et les animaux domestiques à bonne distance pour éviter les accidents.

Thermique ou électrique ?

La puissance est un autre facteur déterminant dans l’efficacité d’un broyeur de végétaux. Un appareil à essence permet de traiter des branches dont l’épaisseur dépasse 4 cm. Le broyeur de végétaux thermique est recommandé pour les gros chantiers. Et comme il n’a pas besoin d’électricité, ils est parfaitement adapté pour un usage éloigné d’une arrivée électrique. Destiné le plus souvent aux professionnels, il coûte néanmoins assez cher.

De son côté, le broyeur de végétaux électrique représente le meilleur choix pour une utilisation domestique. Nettement plus accessible financièrement, ce modèle déchiquette des branches dont le diamètre est inférieur à 4 cm. Cela s’avère suffisant pour éliminer les déchets verts produits par un petit jardin. Par ailleurs, son fonctionnement est d’une grande simplicité. Il suffit de le brancher sur une prise de courant reliée à la terre. Toutefois, si le fil électrique est trop court, il est possible qu’une rallonge soit nécessaire pour pouvoir se déplacer.

Les critères à rechercher

Si vous souhaitez vous équiper d’un broyeur de végétaux, portez votre attention sur certains critères essentiels. L’appareil doit être facile à transporter d’un point à un autre. Des roulettes ou une poignée de transport sont indispensables. Un modèle trop lourd ou encombrant risque de ne pas faciliter son utilisation sur un terrain accidenté notamment.

Il faut aussi vérifier que l’on peut accéder aisément aux réglages des lames. La possibilité d’inverser le sens de rotation du moteur est également une option intéressante pour débloquer le broyeur de végétaux en cas de bourrage. Pour la collecte du broyat, il est pratique d’avoir un sac ou un bac intégré à l’appareil.

Enfin, il est important de vérifier la capacité de coupe du broyeur de végétaux. Prenez en compte l’épaisseur maximale des branches que vous devrez broyer et vérifiez que l’appareil sera capable de traiter cette dimension.

Scarifier mon gazon : oui mais pourquoi ?

La scarification est un exercice d’entretien que l’on pratique dans le jardin. Elle est importante dans la mesure où elle permet de bonifier la pelouse et favoriser la croissance du gazon. La scarification offre une cure de jouvence dont votre pelouse ne saurait se passer.  

Les raisons qui justifient la scarification du gazon 

La scarification est un processus absolument indispensable pour l’épanouissement du gazon. Au fil des années, la pelouse se ternit et perd de la vigueur, à cause de la mousse et des débris d’herbes. De cette situation découle le feutrage ou feutre, une couche impénétrable à la surface du sol. Pour y remédier, il faut scarifier le gazon. D’ailleurs, notons que l’ensemble de déchet de tonte et de racines mortes dont nous venons de parler produit des effets dangereux pour la pelouse. Entre autres, nous pouvons citer :  

  • la mauvaise circulation de l’air, le gazon est littéralement asphyxié et oppressé  
  • l’entrave à la bonne pénétration d’éléments nutritifs tels que les engrais et les amendements 
  • l’entrave à la pénétration d’eau, l’eau ne parvient pas aux racines cela occasionne la déshydratation des brins d’herbe 
  • l’entrave au développement du système racinaire du gazon 
  • favorise l’humidité et partant devient une source de maladies et éventuellement un foyer à insectes indésirables.  

Force est de constater que face à un feutrage avéré, votre gazon ne pourrait subsister. En effet, le feutrage étant l’accumulation de résidus organiques et de débris végétaux formant un tapis dense et inaccessible, est à combattre avec détermination. Lorsque votre pelouse souffre d’un tel malaise, la scarification est votre meilleur recours. Cette pratique consiste donc à effectuer des incisions dans le sol, de manière à débarrasser la pelouse de son feutrage. Aussi, la scarification permet d’aérer, de décompacter, mais aussi d’ameublir le sol. Cet exercice va également favoriser la pénétration des engrais et amendements qui ont pour but de nourrir le sol. Avec tous ces avantages, il est maintenant clair que la scarification est d’une importance capitale pour l’épanouissement de votre pelouse.  

La période idéale pour la scarification  

On ne le dira jamais assez, la régularité de l’entretien d’une pelouse fait toute la différence. Ainsi, il est recommandé de procéder à une scarification deux fois par an : une fois après les dernières gelées de printemps et une seconde fois en automne pour fortifier la pelouse avant l’arrivée de l’hiver. Par ailleurs, vous pouvez pratiquer une scarification avant chaque opération de rénovation du gazon.  

Coupe-bordure : thermique ou électrique ?

Pour un jardin tout propre et bien entretenu, vous utilisez certainement une tondeuse. Mais vous l’aurez remarqué, il existe des endroits difficiles d’accès à cette machine. Le coupe-bordure est un appareil qui vient pallier cette limite. Il est un complément essentiel de la tondeuse permettant de réaliser des travaux de finition comme couper l’herbe du jardin, des allées, du bord des massifs, au pied des arbustes, etc. Cependant, cet outil existe sous plusieurs spécifications. Comment donc choisir ? Explorons cette machine indispensable à l’entretien de votre jardin afin de ressortir les critères pouvant permettre de faire un choix optimal. 

Fonctionnement et quelques caractéristiques du coupe-bordure 

Le coupe-bordure est en générale constituée d’un manche avec deux poignets et d’une tête coupe. Cette dernière est équipée d’un capot qui la protège des projections d’herbe, de caillou ou de terre.  

Le coupe-bordure fonctionne grâce à un moteur qui entraine une bobine de fil nylon ou des couteaux plastiques qui tournent à grande vitesse pour réaliser la coupe. Le diamètre du fil varie entre 1,2 et 2,4 mm en onction du modèle et de la puissance de l’appareil. 

Les différents types de coupe-bordures 

Selon vos besoins, vous serez amené à choisir un coupe-bordure plutôt qu’un autre. Voici donc une brève présentation de ceux que l’on retrouve en général sur le marché. 

  • Coupe bordure électrique 

Un coupe-bordure électrique a une puissance qui varie entre 300 et 1000 W et pèse généralement entre 1,70 et 4,80 kg. Il existe en général deux modèles. La première dispose d’un fil qui se branche dans une prise électrique pour fonctionner (on parle de coupe bordure électrique filaire). L’autre modèle est sans fil. Il est alimenté à partir d’une bactérie (on parle coupe-bordure électrique sur batterie). 

  • Coupe bordure thermique 

La coupe bordure thermique dispose d’une plus grande puissance, d’une grande autonomie et d’une bonne maniabilité. En effet, sa puissance moyenne varie entre 700 et 1000 W. Les coupe-bordures thermiques sont disponibles suivant deux types de moteurs : Le moteur 2 temps et le moteur 4 temps. Plus bruyants et plus lourds que le modèle électrique, ils nécessitent un mélange de lubrifiant et d’essence pour fonctionner.  

Choix du coupe-bordure adapté à vos besoins 

Il faut avant tout prendre en compte le type de terrain et sa superficie lors du choix d’un coupe-bordure. 

Ainsi, un terrain dont la superficie n’excède pas 250 met ayant une source de courant à proximité requiert une coupe électrique filaire. 

Pour un terrain plus grand, et en fonction du type d’herbe à couper, votre choix devra se faire entre le coupe-bordure à batterie et le coupe-bordure thermique. 

Les accessoires qui accompagnent le coupe-bordure sont aussi un bon critère de choix. En effet, vous trouverez parmi les variétés existantes des coupes bordures à tête pivotante permettant de travailler sous tous les anges, disposant d’un manche télescopique ajustable pour adapter sa longueur à votre taille. Vous trouverez aussi des coupes bordures avec des poignets larges pour être adaptable aux différentes tailles de main, des coupes munies d’un variateur de puissance pour adapter la puissance automatiquement au type d’herbe à couper, etc. 

Jardinier écolo : les pratiques élémentaires

Le jardinage est l’une des activités la plus pratiquées en France ainsi que dans plusieurs autres pays. Pour les nombreux amoureux de la terre qui ne se lassent pas de la travailler, se soucier du bien-être de l’environnement devient un impératif. Si vous n’étiez pas encore en mode jardinage écolo, voici des éléments basiques qui vous seront utiles.  

Des méthodes naturelles pour un jardin en parfait état 

En optant pour l’utilisation de produits naturels dans votre jardin, vous enregistrerez de meilleurs résultats à plusieurs niveaux. Pour ce faire, adoptez ces méthodes :  

  • stop à l’utilisation des fertilisants chimiques : il faut absolument bannir l’utilisation de produits chimiques tels que la chaux ou le soufre. Les jardiniers se servent de ces produits pour enrichir le sol, ils ignorent qu’en réalité, ces derniers sont fort destructeurs. Pour éviter d’en arriver à employer cette variété de produits, pensez à faire évaluer votre type de sol par des professionnels. Cela vous permettra de savoir spécifiquement quelles cultures sont adaptées à votre sol.  
  • faire ses propres cultures : il est temps d’exploiter le moindre espace que vous possédez sur votre terrain pour vos propres cultures. En effet, acheter des produits bio revient souvent cher, pour faire des économies, vous pouvez vous même cultiver certains aliments. Vous pourrez alors consommer des produits frais quand vous en aurez envie.  
  • profiter de la nature : puisqu’il est aussi question de la protection de la nature et de la limitation du gaspillage, vous pouvez vous servir des eaux de pluies pour l’arrosage. A l’aide d’un baril ou de seaux, vous pouvez récolter de l’eau sous les gouttières. Non seulement cela ne coûte pas cher du tout, mais en plus l’eau de pluie ne possède pas de chlore, elle est donc idéale pour les cultures.  
  • fabriquer du compost grâce aux déchets de cuisine : en fabriquant votre propre compost, vous ferez de grosses économies. De plus, le compost est considéré comme étant de l’or pour le jardinier. En effet, il favorise la fertilité du sol et lui apporte tous les nutriments nécessaires. Aussi, le compost stimule le développement de racines saines, favorise l’aération et la rétention d’eau tout en améliorant la texture du sol. Il est donc plus que bénéfique de fabriquer son propre compost.  
  • opter pour des semences : il est conseillé de choisir des semences naturelles au détriment des pépinières. Les plastiques dans lesquels sont généralement conservés ces pépinières ne sont pas bio. Si vous n’avez pas d’autres options, choisissez des pépinières conservés dans des plastiques recyclés.      

3 pratiques courantes à éviter dans le jardin

Il arrive souvent que l’on effectue des actions erronées pourtant tout part d’une bonne intention. Certains jardiniers par exemple se livrent à diverses pratiques qui finissent par ruiner l’évolution de leurs plantes. Des idées reçues et de vieilles croyances qui deviennent des routines de jardinages on en connaît beaucoup. Cependant, il est nécessaire de faire une différence claire entre ce que vous devez effectivement approuver et ce qui est à réfuter.  

Entretenir sereinement son jardin 

Avant de vous lancer corps et âme dans la pratique de certaines astuces, pensez à vous informer convenablement. Pour ce qui est de l’entretien d’un jardin, voici quelques idées reçues qu’il faut absolument éviter :  

  • l’arrosage : de nombreux jardiniers amateurs ou avisés sont au courant de la légende autour de l’arrosage pendant qu’il fait chaud. S’il est vrai que l’arrosage en plein soleil ne vous est pas très bénéfique (économiquement parlant), il n’en demeure pas moins que les raisons pour lesquelles on interdit d’arroser sous le soleil ne sont pas avérées. En effet, on déconseille généralement d’arroser quand il fait chaud parce que l’on craint un phénomène destructeur. Selon la légende, les gouttes d’eau convergeraient vers le soleil et contribueraient à brûler le feuillage. En réalité, ce n’est pas ce qui se passe, il se trouve simplement que la chaleur favorise l’évaporation d’eau, ce n’est donc pas très approprié. Alors, arrosez vos plantes dès que nécessaire et insistez sur les racines plutôt que sur le feuillage.  
  • le drainage : les jardiniers utilisent souvent du sable pour le drainage, c’est une pratique à éviter. Le sable sur un sol argileux alourdi au lieu d’alléger, il ne peut donc pas être un facteur de bon drainage. Il est vrai que ajouter du sable au sol avant de faire des cultures de quelques tubercules est profitable, mais cela ne sert pas premièrement au drainage du sol. Si vous souhaitez décompacter un sol lourd, utilisez du compost ou du fumier suffisamment décomposé. 
  • du matériau pour le drainage : encore une croyance en rapport avec le drainage. Si vous avez déjà utilisé une couche de tessons ou de gravier dans le but d’obtenir un meilleur drainage, sachez que vous ne devez plus le faire. Le plus dangereux c’est que la couche de matériau est souvent supérieure aux particules de terreau. Cela provoque une mauvaise évacuation de l’eau après l’arrosage. Vous devez éviter cette pratique et utiliser uniquement du terreau pour garantir l’épanouissement de vos plantes en pot.    

 

Que faire au jardin en Septembre ?

Comme avec vos différentes activités, il est nécessaire d’établir un programme pour l’entretien de votre jardin. Le mois de septembre qui est généralement celui de la reprise de diverses occupations est un mois favorable au jardinage. Qu’il s’agisse d’un jardin d’ornement ou d’un potager, vous ne manquerez pas de quoi vous occuper dans votre jardin pendant le mois de septembre. 

Jardiner en septembre 

Le mois de septembre arrive avec plusieurs travaux à réaliser sur tous les plans. Pour ce qui est du jardin d’ornement, voici ce que vous aurez à faire.  

Le jardin d’ornement 

Peu ou pas du tout différent du mois précédent, septembre impose quelques travaux dans le jardin d’ornement. Il sera question pour le jardinier de se débarrasser régulièrement des fleurs fanées. Les massifs et autres doivent être bien nettoyés, de manière à dégager de l’espace pour de futures fleurs qui par conséquent seront suffisamment vigoureuses. Le jardinier doit également raviver les plantes de rosiers en leur fournissant de l’engrais bio et rabattre les hampes florales des roses trémières. Si vous le souhaitez, vous pouvez procéder à la plantation de bulbes de narcisses. Cependant, veillez à ce que la culture de cette plante soit espacée d’un an. De même, vous pouvez semer des coquelicots et des chrysanthèmes afin d’obtenir de jolies fleurs durant le printemps.   

Par ailleurs, vous pouvez repiquer les plantes qui ont atteint une taille convenable. Si en août vous n’avez pas pu accomplir tous vos devoirs, vous pouvez encore le faire durant le mois de septembre. Pensez donc à surgeonner les rosiers, les fuschias ainsi que les géraniums et à diviser les touffes de pivoines si besoin est. Pour colorer votre intérieur, vous avez la possibilité de récolter les graines de capucines, d’oeillets d’Inde, de lupins, de soucis, etc. Il est recommandé de sécher les graines avant de les exploiter.     

Le potager 

Concernant le potager, le sol est absolument parfait pour les cultures puisqu’il bénéficie encore de la chaleur de l’été tout en retrouvant l’humidité de l’automne. Vous profiterez alors des dernières tomates et autres fruits de fin de saison. D’autre part, un travail d’entretien est nécessaire pendant le mois de septembre. Entre autres il faudra :  

  • semer : oignons, épinard, radis et poireaux, etc. 
  • planter : durant ce mois, la culture de fraisiers est très adaptée. 
  • récolter : vous aurez besoin de récolter les légumes racines, les pommes de terre, les pétioles de rhubarbe et éventuellement les tomates.  

 

Articles populaires

Engrais organique : l’équilibre entre le sol et la plante

Pour stimuler la fertilité des sols de manière naturelle et efficace, l’utilisation d’un engrais organique est préconisée.  Les nombreux avantages que requièrent ces fertilisants...